mercredi 4 mars 2009

Celle qui a lu Parce que je t'aime, Juste un regard et Temps mort...OK, ils ont des titres pourris!


Et ne croyez pas que je les ais lus pendant mon week-end prolonge de souffrance! Non, je ne pouvais ni lire, ni regarder la television : une vraie maladie ! Donc, j’ai d’abord lu celui de Guillaume Musso.

Pour moi, c’est ce qui se rapproche le plus de Marc Levy sauf que ça se passe à NYC ! En effet, c’est toujours plus ou moins une histoire d’amour avec plus ou moins de phénomènes paranormaux, des morts qui parlent, des disparus qui reviennent, ce genre de magie chère à Marc Levy et à Guillaume Musso.
C’est le genre de littérature d’été. Accro quand on est dedans mais aussi vite oublié quand on le referme! La preuve, en commençant ce post, je me demandais quel était le premier des trois derniers livres que j’avais lu et dont je voulais parler. Le synopsis est simple :
Mark, un grand psychologue, marié avec une violoniste de renom et associé avec son ami d’enfance, est devenu SDF dans les égouts de NYC parce qu’il n’a pas pu se remettre de la disparition de sa fille. Mais elle réapparaît...
C’est évident que ça ne va pas sauver le monde ni nous faire réfléchir sur la physique quantique (en même temps à part ceux qui font de la recherche dessus, qui ça intéresse la physique quantique?) mais vous pouvez passer un bon moment avec ce livre. A emporter à la plage donc ! Je suis en avance sur l'été, je sais.
Deuxième livre lu, Juste un regard d’Harlan Coben.

J’ai ADORE! Mais vraiment adoré! Je n’avais jamais lu de thriller d’Harlan Coben, ni même vu Ne le dis a personne, le film de Guillaume Canet adapté du livre d’HC. J’ai loupé deux fois mon arrêt de bus en lisant ce livre et ça ne m’étais pas encore arrivé! Le synopsis : Une gentille mère de famille du New Jersey mène l’enquête quand son mari disparaît. Mais le connait-elle vraiment bien ? (Vous avez vu, je fais bien le suspense). Apparemment, autant, les intrigues de Guillaume Musso se situent toutes a New York, autant celle d’HC se passent toutes dans le New Jersey (avec quelques détours par Manhattan bien évidemment). En même temps, c’est normal, HC habite dans le NJ alors autant nous balader dans des lieux qu’il connaît bien.
J’ai tellement aimé que j’ai enchaîné sur le deuxième de ses livres que j’avais ramené à Noël, Temps Mort et j’ai demandé à mes parents de m’en ramener pleins quand il vont venir le mois prochain ! Oui, je sais je pourrais faire l’effort de le lire en anglais mais un thriller! C’est comme regarder Shining image par image! Beaucoup moins angoissant! OK, vous avez l’histoire mais je ne maîtrise pas suffisamment l’anglais pour apprécier autant un HC! Donc revenons a mon troisième livre, le second D’HC (vous suivez ?),

il a pour héros, un personnage récurrent d’HC, Byron Molitar, son Hercule Poirot mais sans la moustache et avec l’humour agressif en plus. Même si j’ai préfère l’intrigue du premier, le personnage de Myron, agent sportif, ancien basketteur, ancien FBI qui a grandi dans le NJ (CQFD)est hyper attachant ! J’aime beaucoup son humour a deux balles mais je rigole a chaque fois et si ce n’etait pas un personnage de fiction, je serais déjà mariée avec lui (enfin, j’aurais essayé au moins). Même s’il a le chic pour se mettre dans les embrouilles ! Quoique Michael Westen de Burn Notice... mais c’est une autre histoire !
Ce deuxième livre d’HC met en scène Myron qui essaie de retrouver le père et la mère de Brenda Slaughter, jeune star du basketball féminin, disparus à 20 ans d’écart l’un de l’autre. Autre personnage important des livres de Myron Bolitar, Win, son meilleur ami. Chaque écrivain devrait avoir son propre Win ! Win est capable de tout, il sait tout faire et vous permet de ne jamais être coincé dans votre intrigue. Il est riche, beau, puissant, fort et complètement déjanté. Si vous devez rencontrer le futur sénateur du NJ en 2 h, Win peut le faire ! Si vous devez sauver votre héros alors qu’il n’aucune chance, Win peut le faire. Si vous avez besoin de beaucoup d’argent, Win peut le faire. Win peut tout faire. Donc, souviens-t-en apprenti écrivain, crée-toi aussi ton Win. Je sais, ça fait ironique mais je vous assure que j’ai adoré! Et que tant qu’on sait que Win est là, on sait que Myron ira bien et qui veut voir son personnage favori mourir? Pas moi! Donc longue vie à Myron Bolitar! Et à Win...

1 commentaire:

Anonyme a dit…

Je vois par la longueur de ton "post" que ça va mieux!! et c'est tant mieux!!
A l'approche du colloque, on pense bien à toi...et ça fait plaisir de pouvoir te suivre dans ton quotidien.
Aux prochaines news
Anne-Lise