Le quatrième de couverture indique:
La villa est magnifique, l’été brûlant, la Méditerranée toute proche. Cécile a dix- sept ans. Elle ne connaît de l' amour que des baisers, des rendez- vous, des lassitudes. Pas pour longtemps. Son père, veuf, est un adepte joyeux des liaisons passagères et sans importance. Ils s’amusent, ils n' ont besoin de personne, ils sont heureux.La visite d’une femme de cœur, intelligente et calme, vient troubler ce délicieux désordre. Comment écarter la menace? Dans la pinède embrasée, un jeu cruel se prépare.C’était l' été 1954. On entendait pour la première fois la voix sèche et rapide d' un " charmant petit monstre " qui allait faire scandale. La seconde moitié du XXe siècle commençait. Elle serait à l' image de cette adolescente déchirée entre le remords et le culte du plaisir.
La première chose a laquelle j’ai pensé en lisant ce livre, c’est à Tendre est la nuit de Francis Scott Fitzgerald. Pas pour l’histoire mais pour l’ambiance. On y retrouve la même population aisé et oisive, même cote d’azur faite de fêtes, de langueur, de plage et de mondanités même si cela se passe a 30 ans d’écarts.
J’en ai apprécié la lecture mais je n’ai pourtant pas pu m’empêcher de me demander pourquoi ce livre avait fait tant parle de lui a sa sortie en 1954 et pourquoi avait-on crié au génie ? Même s’il est vrai que le style est concis, clair et plutôt moderne pour l’époque, il ne me semble pas « extraordinaire » tout comme l’histoire plutôt classique d’amour perdu, retrouve, d’Oedipe, de manigances et de trahisons. Choderlot de Laclos avait frappé plus fort quelques siècles auparavant en ce qui concerne la manipulation. Je pense que le bruit fait autour de ce livre est en grande partie du a l’âge de l’auteur au moment de sa sortie, a savoir 18 ans. Pourtant au fil des siècles, de grands auteurs avaient déjà publié des chefs d’œuvres a un âge encore plus précoce (Arthur Rimbaud avait 17 ans lors de la parution de son Bateau ivre et cela n’était pas ses premiers écrits).
Juge sulfureux a l’époque, alors que je l’ai trouvé très chaste, on voit que Mai 68 est passé par la.
Cependant, j’ai quand même apprécié le livre. Le style est très agréable, les sentiments bien décrits et l’histoire intéressante. Que demander de plus ?
La villa est magnifique, l’été brûlant, la Méditerranée toute proche. Cécile a dix- sept ans. Elle ne connaît de l' amour que des baisers, des rendez- vous, des lassitudes. Pas pour longtemps. Son père, veuf, est un adepte joyeux des liaisons passagères et sans importance. Ils s’amusent, ils n' ont besoin de personne, ils sont heureux.La visite d’une femme de cœur, intelligente et calme, vient troubler ce délicieux désordre. Comment écarter la menace? Dans la pinède embrasée, un jeu cruel se prépare.C’était l' été 1954. On entendait pour la première fois la voix sèche et rapide d' un " charmant petit monstre " qui allait faire scandale. La seconde moitié du XXe siècle commençait. Elle serait à l' image de cette adolescente déchirée entre le remords et le culte du plaisir.
La première chose a laquelle j’ai pensé en lisant ce livre, c’est à Tendre est la nuit de Francis Scott Fitzgerald. Pas pour l’histoire mais pour l’ambiance. On y retrouve la même population aisé et oisive, même cote d’azur faite de fêtes, de langueur, de plage et de mondanités même si cela se passe a 30 ans d’écarts.
J’en ai apprécié la lecture mais je n’ai pourtant pas pu m’empêcher de me demander pourquoi ce livre avait fait tant parle de lui a sa sortie en 1954 et pourquoi avait-on crié au génie ? Même s’il est vrai que le style est concis, clair et plutôt moderne pour l’époque, il ne me semble pas « extraordinaire » tout comme l’histoire plutôt classique d’amour perdu, retrouve, d’Oedipe, de manigances et de trahisons. Choderlot de Laclos avait frappé plus fort quelques siècles auparavant en ce qui concerne la manipulation. Je pense que le bruit fait autour de ce livre est en grande partie du a l’âge de l’auteur au moment de sa sortie, a savoir 18 ans. Pourtant au fil des siècles, de grands auteurs avaient déjà publié des chefs d’œuvres a un âge encore plus précoce (Arthur Rimbaud avait 17 ans lors de la parution de son Bateau ivre et cela n’était pas ses premiers écrits).
Juge sulfureux a l’époque, alors que je l’ai trouvé très chaste, on voit que Mai 68 est passé par la.
Cependant, j’ai quand même apprécié le livre. Le style est très agréable, les sentiments bien décrits et l’histoire intéressante. Que demander de plus ?
=> Livres: J’aime pas, un peu, vraiment, beaucoup, a la folie
4 commentaires:
Merci pour ton commentaire sur
"Bonjour tristesse" je vais le lire...
Comment as-tu fait pour mettre les accents ce post? Tu as changé de clavier?
Bises
Malheureusement non meme si Brooklyn passe son temps a le changer en azerty ou autre... J'ai juste d'abord ecrit le commentaire sous Word puis je fais la correction des accents avec le correcteur orthographique. L'ordinateur me propose donc les accents (enfin, pas toujours) et voila mon secret! L'autre possibilite, c'est de copier coller les accents un par un mais c'est un peu laborieux, ce qui explique que la plupart des posts sont sans accents.
je dois etre habituee a la vie sans accents car j'avais meme pas remarque que tu n'en mettais plus... sinon j'ai achete "bonjour tristesse" il y a un mois ds un vieux bookshop, je finis mon bouquin du moment et te dis ce que j'en pense.
bisous la petite
C'est amusant car moi aussi je l'ai achete dans la rue pour 3$. A williamsburg, un quartier de Brooklyn! Alors que dans une librairie, un bouquin en francais ca vaut hyper cher. Tu me diras...
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